12 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. a, b, c,…, l étant des nombres premiers entre eux, deux à deux. On aura successivement c;(M)=ç(n}ç(/).c... l) _çf(l}?‘ï/};"‘w:(f. S l) =e(a)e(b)e(c)p(... 7) SRS R \ J ; =— gp(a)p(b)p(e)...e(l), ce qui achève la démonstration du théorème énoncé. 285. Le théorème précédent fournit un moyen très- simple de trouver la valeur de e(M) Lorsque' M est égal à un nombre premier p, il est évident que les nombres premiers à M = p, et non su- périeurs à ce nombre, sont I, 2, 3, ..., (P—1); on a donc [ Ns ?\I}I\_.]Ï_Io Lorsque M est égal à une puissance p’ d’un nombre premier p, 1l est évident que la suite des p*-! nombres PR PIMOPI Es 00 PE SP renferme tous les nombres non supérieurs à M qui ad- mettent p pour diviseur; on a donc e(M)=p—p{=p"{p—1), ou ; o([M)=1 ——Ï 0 ut E Considérons le cas général ; soient p, g, r, … les fac- teurs premiers inégaux de M, et supposons M piqEns , . d