“ … COURS D’'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. On le nomme résidu mimmum ; mais, si l’on ne veut E considérer que les résidus positifs, les limites seront 2E u M oet M, et le résidu minimum pourra surpasser — » 2 282. La notation de Gauss, pour représenter les con- gruences, a l’avantage de mettre en évidence l’analogie qui existe entre les congruences et les égalités, sans qu’il y ait pourtant de confusion à craindre. Nous allons faire voir que la plupart des transformations que l’on peut faire subir aux égalités peuventêtre appliquées aux con- gruences. ADDITION ET sousTRAcTION. — Si l’on a a=b (mod.M), æ =b' (mod. M), on aura aussi a—a=b+#" (mod. M). Les congruences proposées expriment, en effet, que 8 prop } , > q a — b + un multiple de M, a' — b' + un multiple de M; donc ata' =b—+ d + un multiple de M, ou ata =b£b (mod. M), ce qu'il fallait démontrer. MurriPL1CATION.—On peut multiplier une congruence par un nombre entier quelconque ; car soit a=b (mod.M), c’est-à-dire a=— b — un multiple de M, on aura aussi, quel que soit l’entier m » q Î , ma — mb +— un multiple de M, en se r bl ë ÿ