PRPTE ETEN 441 4 640 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et l’on en déduit Bt — Ek u1 P OUR Pa S D- m, — m Si l’on fait”= p», les nombres (9) sont nuls ou négatifs, et en particulier tous ceux qui suivent le (k'— k)ième sont négatifs. On voit aussi que tous les nombres (8) sont né- gatifs; car, si g est < , on a, par hypothèse, d VLE- S où < p avec A E Px mse- '77.g m -— Ï)Z£. , \ d’où H‘J‘vy.g_ -— eil > P‘ et ,f%_ËL_ÏÉ'L es p2 > O. Ï)Z__.Ï —— l71/\. "lg — )71A. D’après cela, si l’on y fait ” = p, et x=œ , l'équa- tion (7) prendra la forme (10) u”r+...+ Byu”"#—0o, ou u"r f,(u) =0o, les coefficients B ayant des valeurs finies et le dernier B, étant différent de zéro. Cette équation (10) à my racines nulles et m; — my racines finies et différentes de zéro. Il s’ensuit que, parmi les racines y de l’équation (2), 1l y en a mx dont les degrés sont inférieurs à pa, €t 727 — Miy dont les degrés sont égaux à p». En outre, les premiers termes des séries qui représentent ces dernières racines sont égaux aux valeurs de æx* quand on prend succes- sivement pour « chacune des racines de l’équation fl(a):: O. En continuantainsi, on déterminera les premiers termes des séries qui représentent les m racines de degré infé- rieur à p». Ge que nous avons dit suffit évidemment pour établir le théorème suivant :