SECTION 1I. — CHAPITRE V. 639 “ racines sont égaux aux diverses valeurs de æx%, quand on prend successivement pour œ chacune des racines de l’équation f 0. Cherchons maintenant les premiers termes des séries qui représentent les m; racines y de degré inférieur à pu- En divisant l’équation (3) par Axx7", elle devient (/1 ; / A a(M—Mp)r um+__ .+Il'”l +-.. A, c ) / ( 7 AÀ./.”I"(…"”…À)W A[+1-T—…7‘r —— uT5 4 —— =0; les coefficients des termes qui précèdent u” ont pour degrés # | ; #n — p \ ——("7—”2A.} <._Ï__P ——l'>7 …. m— m ' — (mp=s — M;;) <fl—_Æ:l —r) , ms — M (8) et ceux des termes qui suivent w”* ont pour degrés / \ Ek+i — Fk 2 \ (V — Mpss) Æ/—"——-";—/ —7Fr}y , E Pnt — Fl À 1 — P ’ ‘m,l_—mk/‘e(‘————r), ….> m Es e S ° \I)l/\, — mpr m \ (9) Désignons par p le plus grand des nombres Eksr — Fk E — #K Pist —— PE T T mge—Mp+y m — ms ”Zk P— Ve et suppôsons que soit le dernier de ceux qui my, — Mmys sont égaux à p,. Il est aisé de voir que p3 est plus petit que p,. En effet, on a, par hypothèse, Le sE ‘U‘/.’/ — lU m-— m — p RE e / — (lfi m mps e Pl: