638 l’équation (2) devient COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. (3) Ax'ut"4A, œ" 4 4 4H A p æ URT RE ou, en divisant par Ax”", xæ—( m—m,)r A A/| ."__( 7)I—III]_,)I‘ A1 À uÏIZ __{ ll’”l { ; ll”lk L ……—HAu=0, À . —mr *‘J+I‘r À H dans cette équation, les degrés relatifs à x des coefficients ? ° ( u —# (m — m,) sT 9 S “\m—m, (S) qaas ms RAYN A SRS / [ W — [ ds == \nz—nz,\.‘;(‘——“'“—r u EN ; \\HZÀ——HZ/{ m des termes qui suivent le premier sont respectivement \ Désignons par p, le plus grand des nombres ZÀX*—-U. t | " m m, RE SE 2s è ; m—mp rN m — m; .. 4 ; e et supposons que … soit le dernier de ceux qui sont égaux à p,. Si l’on fait 5 = py, quelques-uns des nom- bres (5) seront nuls, mais tous les autres, et en partieu- w lier ceux qui suivent le A'°”e, seront négatifs; en sorte que, pour x = œ , l’équation (4) prendra la forme ur+...—+ B;\.It'”‘ m=N 20 (6) ou usF r6) 56 les coefficients B ayant des valeurs finies et le dernier d’entre eux B; étant différent de zéro. Cette équation (6) ; a n, racines nulles, et m — nx racines finies et différentes de zéro. 1l s’ensuit que, parmi les racines y de l’équa- tion (2), il y en a m, dont les degrés sont inférieurs à p1, et m — my-dont les degrés sont égaux à p,. En outre, les » ; premiers termes des séries qui représentent ces dernières E e D N ” r S — E e 1 4 7 04