SECTION IT. — CHAPITRE V. 629 de y et de z, tirées des deux premières ; mais on aurait pu opérer de deux autres manières différentes : par exemple, en portant dans la première équation les valeurs de y et de z, tirées des deux dernières, on aurait obtenu une expression différente de 2 x, qui peut évidemment être tirée de celle déjà trouvée, en changeant l’une en l’autre f et o, fu etqu, .... On a donc Ex= ‘S‘f1 (7,9) 2F1 (y, 9) B(y. d) + qrly, 9) Cly, 8). J(3 Flys à) A(y, $) ’ mais ici les sommes qui figurent dans le second membre sont relatives aux solutions communes des équations F(7, 3)=0, q;(7, 3)=0. Egalons les deux valeurs trouvées pour Ex, et suppo- sons que les polynômes Fy et f; soient identiquement nuls; on aura E qr(a, 6) _ @ r(y, 9) C(9, 9) ë e[ 6) - LD fly. S Aly, en se rappelant que le signe ÿ s’étend, dans le premier 5 d t membre, aux solutions communes de f(«, 6)=0, F(a, 6)= o, et, dans le second membre, aux solutions communes de F(y,d)= 0, 9(y, d)= 0. On peut, dans cette formule, considérer les polynômes f, F et @ comme absolument arbitraires; et, quant au polynôme o,, il n’est assujetti, par notre analyse, qu’à la seule condition d’être d’un degré inférieur à celui de p. Supposons @(x, Ü‘:C(a, Ê); la somme du second membre de l’équation précédenLe