SECTION II. — CHAPITRE V. =- 018 les m valeurs de &, on aura N(.r, y ) =.1:”F(cq) + æ" E,, N(x, y3) = #" F(a5) + #" Es v ° \ 2 ; N (.Z‘, .Ïmï | (“nzf 0 l‘;,… %, Es, …, En désignant des quantités qui s’évanouissent avec —- Si l’on multiplie ces équations et que l’on ait I X égard à l’équation (3), il viendra (5Ï‘ V=x’”"F(cq)F{sq)... F(a,,l>+æ"…H, 4 ts V I H désignant une quantité qui s annule avec e Le premier terme de V est donc ær”F{e, } F(ast 2 cFlan Js on pourra l’exprimer en fonction rationnelle des coeffi- cients de F et f, puisque F(œ,) F(d,)...F (æm) est une fonction symétrique et entière des racines de l’équation F(a) — 0 Il suit de là que l’équation finale qui résulte de l’éli- mination de y entre les équations (1) et (2) est d’un degré égal au produit des degrés de ces équations. Remarque. — Si les coefficients des équations (1) ont des valeurs déterminées, et que ces équations contien- nent la plus haute puissance de y, l’équation finale ré- sultant de l’élimination de y sera toujours V=0o, et l’on voit que le degré de cette équation finale sera encore égal au produit des degrés des équations propo- sées, à moins que les équations fÙ<)=o, F(c<)—::o