COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 614 La deuxième de ces trois formules comprend toute la théorie des asymptotes rectilignes ; la courbe représentée par l’équation (1), où x et y (lçswncnt alors des coor- données rectilignes, a pour asymptote réelle ou imag!- naire la droite représentée par l’ équation (16) La différence e’ qui existe entre les coordonnées de la courbe et de l’asymptote est généralement un infiniment ; ; S I ; ; /)6£Lt du premer 01‘d/‘8, en considérant — lui-même æ comme un infiniment petit du premier ordre. La courbe représentée par lu1uauon (1) admet aussi pour asymptote l’hy perbole que représente l’ cqual10n 21 ( Rs S n rs (12) y=arrd+ É3 X " ; . ë ; mais dans ce cas la différence — desordonnées des deux * L. courbes est un infiniment petit du deuxième ordre au moins. La courbe (17) pourrait être appelée asymptote Ÿ du deuxième ordre de la courbe proposée ; et, comme . on peut p()Ll\\01 aussi loin que l’on veut le développement de y en série ordonnée suivant les puissances décrois- santes de x, il en résulte une infinité de courbes des degrés rccnunt sans qu *i] soit nécessaire d’insister sur ce sujet, comment il faudrait modifier la méthode, si l’équation . [ f(s)=0 f, y ‘ avait des racines égales, contrairement à l’hypothèse que nous avons faite.