SECTION I. — CHAPITRE V. 603 tions, et l’on voit que leur détermination exige seule- ment l’élimination d’une inconnue entre deux équations. 965. Cas D'UN NOMBRE QUELCONQUE D'ÉQUATIONS. — La même méthode s’applique à un nombre quelconque d’équations. Supposons, par exemple, qu’il s’agisse de trois équations à trois inconnues Flæ,y, =)=0, F(æ,y,3)=0, 9(w,7%, 2} 0, et soient (æ1> V1> Z'1)v ('7"2»Ï29 32): . (xm.Ïm zn) les systèmes de solutions communes à ces trois équa- tions. Conservant la classification que nous avons adoptée des diverses fonctions symétriques, la forme générale des fonctions simples sera RL P 2 t bl 1ie e J4 z1 E .r2y2 z2 Psader Tn) n*n celle des fonctions doubles sera 2P41 2 uff 5 +0 6 et ainsi de suite. Et c’est à la détermination des pre- mières que se ramène celle de toute fonction symétrique et rationnelle. Désignant par t une nouvelle variable, par « et 6 deux indéterminées, nous poserons =:I'+1£')”+8Z, d’où .l‘=t—a_}’—€Z Ayant substitué cette valeur de œ dans les équations pro- posées, nous éliminerons y et z; nous obtiendrons ainsi une équation finale en t, “p‘\t’ , €}=Ow