602 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. doivent être égaux dans les deux membres, et il en ré- sulte cette suite d’égalités : l‘: + .7?Î y 4 = À 0> n p ps PE 8 Îk.ll . vT2 _)2+ ..+A'” } vv‘ _Àl. T2 ; « 15e e 2515 c e 5 V +Je H 597 = An çr ': ‘ qui feront connaître les fonctions simples Er{’){’ de '.[ Ü degré p+q=vp. Le calcul des foncüions doubles, triples, etc., peut être exécuté de la même manière que dans le cas des fonctions symétriques ordinaires. Par exemple, pour avoir la fonc- - F , . . ; tion double E.r{'_)“'{.r{’ y{» on multuphcra ensemble les deux fonctions simplesE 2205 eLE rf y{ ; le produit . . , y se composera de la fonction simple z aP'E y 1 en de la fonction double qu'on veut trouver. On aura donc E P,4 4P 49 __E P Ê ; '42 SP+P . 9+9" .7,‘1_)1.I‘2_)"2 = X 71 .Ll _)l Seulement il ne faudrait prendre que la moitié de cette valeur, si l’on avait à la fois p'= p, d'= q. Les fonctions triples, etc., se calculeront d’une ma- nière analogue. Ce qui précède suffit pour établir, comme nous l’avions - annoncé, que les fonctions symétriques et rationnelles des solutions communes à deux équations peuvent s’ex- y ; primer rationnellement par les coefficients de ces équa-