SECTION 1. — CHAPITRE IV. 5o1 guées, et que l’on ait a=r(cosa + J—1 sinæ), 6 =r(cosa — \/:sina); aux indéterminées X, et X, substituons-en deux autres Y,, Y, telles que ‘ x #1 ÿ1 K=H—YV—E Il est évident que les deux premières des équations (2) seront équivalentes aux deux suivantes : æg+ 7 Æ, COS% + 7 æg COS 20 + …. + 7* X _ COS (m—1)a — Yo, ræ, sine +r*æ,sin24+0. # 7 æ — SE (m—1)a =Y1s lesquelles ne renferment que des quantités réelles. On opérera de la même manière pour chaque couple de ra- cines imaginaires, et il est évident que la substitution (2) deviendra réelle par le simple changement de X,; K —3 en Y9 + Ÿ, \/:—_1, Y, — Y, \/:——l, seué Les deux racines imaginaires conjuguées a et b don- neront dans f la partie I c —— I sS sè (Y + Y4=* + Î)Ηi - t \/:)—]_ ct e EU E R +p [(cos % 2 v’—151n%> (Y — Y, ‘/—I)J , ou bien 2 5 2 2p(Yocos—î—Yisin %> — 2p ,