SECTION II. — CHAPITRE IV. 589 et le second sera égal au quotient de la même expression par (a—t)(b—e).. (R — DE on aura donc e 4 (7) kzs (a (}/‘\a r (@—f!) le signeE se rapportant à toutes les combinaisons \,3...(a—/z\;2...(g—h}2 (b—z)...le——t) 9 m—p+ 1 àm—p +1 des m racines a, b'es t Enfin, si l’on suppose que toutes les variables de f's’an- nulent à l’exception de x,, et qu’on désigne par Ao le coefficient du carré de la variable restante, on aura I £8) Bo :E(L——t. La fonction f'étant réelle, elle peut être ramenée, comme nous l’avons vu, par une substitution réelle, à la forme A2 X2 ; Am—1 2 N m—i* ÀÀl À (9) f= 4 X} l—A' x:+ 0 aAms2 260. Cela posé, nous démontrerons, d'après M. Her- mite, le théorème suivant : Tréorème. — Ætant donnée l'équation F(z) =0 du degré m, à coefficients réels et dont les racines suppo- sées inégales sont a, b, c, . , l, soit la fonction homo- gène réelle F S t(æo+axl + aîx, +... H a” t æm=r)* ; + (æ + bæ, + 0209 H 1004 D mn )” {() b—t e 1 / 2 A = e (æ0t læ, + É x3 ++00+ Ls 1.1‘…_1)2