% ‘ & f ‘ ‘ ‘ v Ë . , / SE Î:((t—!}îu\(l—(‘;...k(£—/1)A[)—(')...{/l—/!)...‘\(‘.{—/l\ 588 COURS D,ALGÈBRE SUPÉRIEURE. ce qui montre que l’invariant de f ne sera jamais nul si l’'équation proposée n’a pas de racines égales. On peut encore tirer l’expression de A, , d’une autre considération qui fournit en même temps l’invariant A m—u de la fonction à laquelle se réduit f, quand on y suppose nulles les y — 1 variables Um—is Em-2y <++, m—u+1> La fonction dont l s’agit sera donnée par la for- mule (3), si l’on suppose que les indices : et 7 ne varient que de zéro à m— ; la formule (4) donnera les coef- ficients i,j, et, comme elle peut s’écrire J (I lj = e ceq S A L Es l’invariant Am_, sera égal (n° 244) à la somme des produits obtenus en multipliant l’un par l’autre les dé- terminants formés respectivement avec m—yp + 1 co- lonnes verticales des tableaux dont les lignes hor sont représentées généralement par Izontales UN RDEE e ns d et sA a/ bj l 9 —— +.., » a—t b—t l — # , chacun des indices j et j ayant les valeurs o sRS m— u. Si l’on suppose que les racines @ e ss Bs À soient au nombre de m — É+1, le premier des déter- minants dont il s’agit sera égal à \ / ‘