SECTION IT. — CHAPITRE IV. des indices : et 7. D’après cela, si l’on fait (—n = S ë Ë (e) , (u) _eu — a‘-’j al',]‘ 9 us pl []1A 2 E Î X0,0 (/-171. . 'al'-—l; p-17 ; et, en appliquant aux um* quantités on aura (o) (1) (2) (p—1) P le théorème du n° 244 (CororLAIRE), On mettra p, sous la forme 2 c (0) (1) . g(2) (p—1) (7) Pe =— S { E =s (l…- Uj ai“;i” se (li…_l>_l-…_…] , # L, Ï7 il7 jI7 i”7 j”æ D i(H_1),]'(P_1) r6présentant « sys- tèmes quelconques de deux indices , ÿ et la somme S se rapportant à toutes les combinaisons y à u des m* systèmes !, J. La formule (7) montre que chacune des quantités p, E est une somme de carrés. Ces quantités sont donc toutes positives ; il en résulte, comme on l’a vu au n° 257, que l’équation F = o a ses m racines réelles. Methode de M. Hermite pour déterminer le nombre des racines réelles d'une équation qui sont comprises entre deux limites donnéces. 259. Nous nous proposons d’exposer ici une méthode extrêmement remarquable de M. Hermite pour déter- miner le nombre des racines réelles d’une équation, f comprises entre deux limites données. Cette méthode