mata aar M SS \ 2V888 cT 580 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. l'équation V= 0 aura autant de couples de racines- imaginaires qu'il y aura de variations de signes dans la suite I, Pi, P2s -++»+» Pme E m * ° Cororcarre 1.— 1/ y a au plus — variations dans 2 la-suite «, Pu, P25 <—+>Pme CororzAire II. — Pour que l'équation V=o ait toutes ses racines réelles, il faut et il sufit que les quan- tites , p2— P3s +<+<» ]]m sotent toutes positives. Application du théorème de Sturm à une classe remar- PI quable d’équations algebriques. 258. Considérons les m équations [ gæ1 Cn a1,1 X1 +a2,1æ2 se ts ”m;l '7:”IJ E49 — U1,9 X1 + A9,9 X9 + . + H Am,2 Tm (+) ........... pua es CHANAe SRs 000 p » eyspace ppe 0 e 39 g Em =— al,m X1 25 aî,m X9 T 42 s1et T am.m .Z‘…_ dans lesquelles les coefficients a sont des constantes réelles données satisfaisant à la condition (li,j — (lj}[. Ces équations sont linéaires et homogènes par rapport aux variables x; et, si l’on désigne par l'le déterminant Ua7—- E A9,1 s.. Um,1 a A9 9 — a 9 1,2 2,2 B putes ma,2 es A,rr ,n .. Unm— &