manany 1» 576 COURS D’'ALGEBRE SUPÉRIEURE. Or le terme du degré le plus élevé en x dans le pro- duitS,++ V, à pour coefficient 712 _'_[E(a_b)2(a_c;2...ïg—h‘flJ, )*y-)‘}*+i = /. P Àu Ap+1 ou en adoptant les notations exprimées par les formules (3); on a d’ailleurs S, =1, d’après les formules (12), et le coefficient de x dans V est égal à 1. L’expression pré- cédente se réduit donc à l’unité, et l’on a d ÀuF =])â : il estévident que, dans le cas de # —1, le second membre de cette formule doit être remplacé par m*, ce qui est conforme aux formules (3). On a donc e S —2 se 2 e 2 11 —1, M )‘2 —])1y )‘2)‘3—])2: 2cx r 8 )‘m—-1)‘m — Pm—i» d’où l’on conclut immédiatement les formules (2), ce qui achève la démonstration du théorème énoncé. I faut remarquer que la quantité p ne figure pas dans notre analyse, mais nous introduirons cette quantité dans ce qui va suivre, et c’est pourquoi nous l’avons com- prise dans le tableau (3). 256. Nous allons faire connaître maintenant une con- séquence importante du théorème de M. Sylvester. Les quantités p,, p», P3, , sont des fonctions symé- triques et entières des racines de l’équation V=0, et en conséquence elles sont exprimables rationnellement par les coefficients de V. Si donc ces coefficients sont réels, P1> Pas P3, …. Seront aussi des quantités réelles; dès lors les facteurs }», À, ... À, seront des nombres essen-