566 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. ‘ une fonction entière et homogène du deuxième degré des m variables U, Hg, »> <, Um et dont l'invariant À ne soit pas nul. Dans cette hypo- thèse, toute réduction de f à une somme de carrés pourra, comme on sait, être réalisée par le moyen d’une substitu- tion linéaire et réelle dont le déterminant n’est pas nul. Supposons donc que, par la substitution réelle, cuu Z U z () u =N ant e / ; | i él ‘ K=3 sl 5 n on obtienne . p.:/}I w p "2 ï (2) 4= dnas H E } , £, étant un coefficient réel positif ou négatif ; et qu’une f es 5 | / autre substitution réelle, V v Ë \=m É6s (3) u,— E Ax.p X3s =1 , donne A p=m (4) ss)ax p=t E, étant encore un coefficient réel. Il s’agit de prouver @ que dans les deux suites f E1, Eny ». -y Empy 4 E _,..;'J EÇ- li27 e E/ll? P if ë ; . 2 BU E il y a un même nombre de termes ayant un signe donné. vs f , Supposons négatives les quantités e,, €a, .…, €; et po-