; > h62 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et l’on a 8 | â—{\A’A”—BÜX+ (BB’ — A”B”) Y + (BB”— A'B°)Z], y = = ((BB'— A"B7)X +(AA"— B)Y + (B'B— AB)Z], æ I / \ ( 2 s= [(BB"—A'B')X +(B'B"—AB)Y +(AA"— B?)Z]. La substitution de ces valeurs dans l’expression de / donne la fonction adjointe AF, savoir : PS DIR v ;à AF — (A" A — B?) X?+ (AA"— B"?) Y? + (AA! — B7* ) 22 " V “ ; +2(B'B" — AB) YZ + 2(BB"— A"B')XZ ‘ / / sil e + 2(BB*— A"B”)XY. = Posons {l A'AT— B?—a, AA7— B2— æ', AN — B?— 2 f on aura éll (B'B°—AB)? =a'a"— Aa, f = J / (BB” — A’B' ? =aa" — A'A, ( —A ÉF u® — 4”A, ps et quand l’invariant A est nul, ces formules se réduisent à B'BP—AB_ =Vs a", y à BDB” — A'B' =— va ya”, J hs BB —A"B”= (a \/:/. ; donc la fonction adjointe AF se réduit, dans la même hypothèse, au carré de la fonction linéaire Xyva+Yya'+Z \/«”. e > ° « , 14 liemarque sur la réduction à une somme de carrés. » f 253. Nous terminerons ces considérations générales ; ‘ 8 par une remarque importante relative à la réduction d’une