SECTION TI. — ‘CHAPITRE 1V. 551 pour toutesles valeurs des indices z et Æ. Si donc'on pose U,n Un <1 0 Cm J Ay,2 29 <010 à (7) A: .4) -.’- 1.’ .. (’ (Ll;7)l ([.2M” 4 (l,,1),” ‘ on aura (n° 244, Remarque) (8 ) ; =- P Il résulte de là que le gléterminant de la substitution (2) ne peut être nul que dans le cas où l’'on a A=0o. Ce déterminant A, formé avec les coefficients des fonctions linéaires : of àf QE p e I AI C T SE ce DÉOE, 2 0dæ; 2 0Xn joue un rôle considérable dans la théorie qui, nous occupe. M. Sylvester lui a donné le nom d’invariant, qui est adopté aujourd’hui par les géomètres, D’après cela, nous pouvons énoncer la proposition suivante : Si l’invariant d’une fonction homogène du deuxième degré n’est pas nul, toute réduction de la fonction à une somme de carrés pourra étre obtenue par le moyen d'une substitution linéaire. 243. La dénomination d’invariant, donnée au déter- minant À, se trouve justifiée par la proposition suivante : THÉORÈME. — Lorsque, dans une fonction entière et homogène du deuxième degre, on substitue aux m va- riables des fonctions linéaires de m nouvelles variables, l'invariant de la transformée est égal à l’invariant de la proposée, multiplié par le carré du déterminant de la