546 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. huit quanlités quelconques et posons ay,=+a+by—t, hl,1=+P+ÿ\4ï« a2’2=—î—(t—l)\/——l. G5 ÎÎ"f])—(A/\_:Ï—_ a1,2=+c+d\/——l_ b,=+r+sy—T, a,, =—c +dV—1, by=—r+—sy—1; notre identité deviendra (a? + 62+ c + d?) (p?+ 9 +—*+ s*) “ sù V 2R = (ap — bq + cr — ds)? + (aq + bp — cs dr)? Æ f ; — ( ar — bs — cp + d(j“—{ as + br + cq +— dp )*, ce qui démontre le théorème énoncé. I! convient de remarquer que l'égalité précédente peut masm navr t4 A él » T . . 1°P£ sT ; être écrite Ge plusieurs manières différentes, car on a le droit de changer de signe de l’une quelconque des huit quantités a, b, c, d, P, q» T» $- v Des fonctions entières et homogènes du deuxième degre. 7 246. Nous avons fait connaître au n° 192 une pro- priété importante des fonctions homogènes du deuxième degré ; cette propriété et les notions que nous venons de présenter forment la base sur laquelle repose l'analyse que nous nous proposons de développer ici. On recon- naîtra toute l’importance de cette analyse, en étudiant les conséquences que l’on en tire pour la théorie des équations Soit f une fonction entière et homogène du deuxième f degré des m variables u É ; X4 T939 ++>5 Tm Nous représenterons indifféremment par 2a;,j OÙ 20j le coefficient du produit des deux variables distinctes