SECTION 11. — CHAPITRE IIT. 525 général se réduit à n E l<‘ ((Z) . _Pll_ at+ f" ( a)_ Ainsi la série récurrente dans laquelle se développe la fraction F—‘(—r—) peut s’obtenir par l’addition de plusieurs f (æ) séries provenant des développements de diverses puis- sances négatives et entières des binômes a—x, b—x,.... D'’ailleurs ces séries sont convergentes pour toutes les va- leurs de x, dont le module est inférieur au plus petit des modules des quantités a, b, ..; on peut donc énoncer la proposition suivante, qui est un cas particulier d’un théo- rème de Cauchy relatif au développement des fonctions : Tuéornème. — Une série provenant du développe- ä ; : , F(=) ment d’une fonction ratwnnellef—(\f)—' est convergente * % pour toutes les valeurs réelles ou imaginaires de x dont le module est inférieur au plus petit module des ra- cines de l'équalionf(x) —o. ExrmeLe. — Proposons-nous de former la série réeur- rente dans laquelle se développe la fonction e P+— Qx {æ\}= —— e 1 — 2x COSO& + ** où P, Q et w désignent aes constantes données. Décomposant cette fraction en fractions simples et employant, comme nous l’avons déjà fait précédemment, la notation usuelle des exponentielles imaginaires, savoir, s— cose Æ y —1 sino, on a ; A B :", x; — —— = sc — 1N p veT sy"