SECTION II. — CHAPITRE III. 521 lui-ci en faisant toutes les permulat10ns des m—+— n in- dices 0515 2s ec IO ME TE Or c'est à cette somme que se réduit aussi le dénomi- nateur de u4 pour x = x,; donc la formule (3) donne u=— U, pour x — X,, et, comme tout est symétrique par rapport aux indices, omau = u pour x — X,, quel que « soit l’indice . ' La formule (3) subsiste dans le cas de n = o, pourvu qu'on réduisé son dénominateur à l’unité; elle coïn- ‘ cide alors avec la formule du n° 230; elle subsiste éga- * lement dans le cas de m = o, pourvu que l’on remplace le numérateur par uo U; . » . Un- —E A * Dansle casde m=n= 1, la formule (3) donne 2 æ—æ, æ — %, æ — %, U, u,— . + uu — E us . (4 — +2) (w, — æ,) @ —x)(x,—%;) (, —w,)(w,—æ), @. x, — æ x x, —x S æx, — X . -— _— dh SREE e RE , (x — %, ) (% — *;) * (æ — æ ) (æ — æ,} * (e2 — % ) ( 2 — æy) . Des séries récurrentes. $ 233. Une série d + 44 % + A* + A3X3+ 00 H An TH ee, ordonnée par rapport aux puissances entières et crois- santes de la variable x, est dite récurrente, lorsque, pour | toutes les valeurs de n supérieures à une certaine limite, le coefficient de x” peut s’exprimer, quel que soit z, par * une même fonction linéaire des coefficients des puis- | sances inférieures pris en nombre fixe.'En d'autres termes, la série que nous considérons sera récurrente, i, pour toutes les valeurs de n qui surpassent une cer- Ÿ taine limite, on a identiquement S X0 Un—m + % A # Um—s Un—ss À Un Un — O, n—m+1 e ®