A xn A K( URS matu nn 5>00 514 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. comprises entre o et 1, en appliquant 7 fois de suite le théorème de Rolle à l’équation Çm{\Ç 24 I)"+l= o, qui a m racines nulles et n + 1 racines égales à 1. Les ra- cines nulles de l’équation (4) ne peuvent nous convenir, car, paur #= 0o, la formule (3) donne a=—ioua=—+i; mais l’une de ces équations entraîne l’autre, puisque @ et œ sont conjuguées; les facteurs z —a, 3—a de- viennent = + i, 3 — ; par suite on retombe sur le cas où les polynômes ? et T se réduisent à l’unité. Pour & = 1 l’équation (3) donne a— a, et la formule (2) se réduit encore à celle que donne l’hypothèse = t =1 Mais à chacune des racines & comprises entre o et 1 répondent, pour a et «, des valeurs imaginaires et con- juguées l’une de l’autre. Remarquons d’abord qu’on peut supposer (5) aa—1 sans diminuer la généralité de la solution, car on ramè- nera le cas contraire à celui-là par un changement de va- ; ; E A S ; riable. Il suffira effectivement d’écrire — aulieu de z, r ez en prenant pour « l’une des racines de l’équation » a+a £ +3 —e—I—O0; aæœ -— par la transformation dont il vient d’être questiun la formule (2) devient 4 [0s —er)5+"{3—i)" æ + iy — k(cose + isino) [ ‘ d3 .\ e z 11)/l+l,; 1 l)/l!+2 v \ \ a, et œ, ayant les valeurs suivantes : a—t @œ—E -EN rs S 1+ à& 1# aë a — œ =—