SECTION II. — CHAPITRE I. 513 algébrique. Pour trouver cette condition de la manière la plus simple, soit w une nouvelle variable et posons z—Ù a—ù ys u, z+: a+t Faisons aussi, pour abréger, {(I+i\\/a_—i) (3) t=, es ts (a—i)(a+i) on aura dz 1 a—i, 7 =— du (3 +:)? DE et (3 — :)"dz 1 (a—i\”+ mms aran rs ; u” du, 2 17t = 20es 2ù\a+i puis z2—a a+iu—r z—a a+i u—C D'après cela, la formule (2) devient u” (u — 1)7* du L'u__'Ç"/H—1 3 x+i —A / v en faisant, pour abréger, I , a+id\7+1/@ — j\ MH A — — h (cosw +ismm)< > ( . D «+i a+ti On voit alors que la condition pour que x + y soit algé- brique est L 12 dPee(e — 1)?+1 e (4) ———(—lgu— =0 Cette équation en £ est du degré m + 1; elle a une ra- cine égale à 1, et, si n est inférieur à m, elle a m — n ra- cines nulles; le nombre des racines différentes de o et de 1 est donc égal au plus petit des nombres m et n; on reconnaît que toutes ces racines sont réelles, inégales et S. — Alg. sup., | 33