… C4 RE su AN ; 2R 512 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. sera donnée par la formule ‘[ [ \n (1) k (cose + isinm)] Ps 0 dz, 7 T \z+ """ pourvu que les constantes a, b, c, ..., %, 6, y, .… soientchoisies de manière que l’intégrale qui figure dans la formule précédente soit algébrique. On a effectivement * S m d.r+ir[]'=Â'(COSw+ÏSÎU«»)t (4 l) (z e I-)m+2 et, en changeant à en — i, \m Q , . J dx — idy = k (COSœ — lSlllœ} = d t { es T (z ; p ,}m+2 La multiplication des formules précédentes donne k? 22 (æ4 12 dz 1 —+ z* dx +dy? = d'où \/Ë — (lÎê =K et [ Vda?+ dy* = h arc tangz. Comme le degré du numérateur de la fraction t (z e l m “ ; est inférieur de deux unités au degré du dé- (Z +l)m+ nominateur, si u désigne le nombre des constantes a, b c,..., ou œ, 6, y, ..., il suffira de satisfaire à u— conditions pour rendre algébriqué l'expression de x + Ly. Lorsque t et 7 se réduisent à l’unité, notre formule ne donne pas d'autre courbe que le cercle; le cas le plus simple est donc celui dans lequel on a e \n+i 4 \n+1 . t_\z—a} , T= (3—4°) ; la formule (1) devient alors 5 ë (S 22x )n+l( — ;)\m (2) x+ùÿy= ‘(C()Sœ+iS…m}f\ — dz, [ \z L a)n+1 (Z 4 Î)"'+2 et une seule condition suffira pour que l’intégrale soit