108 508 f(x)= 0 sont toutes inégales, on peut déduire la fou- COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. ; ; » “(æ) velle expression de la fraction rationnelle —— de celle (æ) qui a été établie au n° 217. Soient, en effet R + k y—1 et h — k ÿ— 1 deux racines simples imaginaires et con- juguées de l’équation f(x) = 0; l’expression de la frac- ; F(+) = ; tion }ÎÜ contiendra les deux termes suivants : T cat F\£/l——{—/(‘(-—l) I = —. s; _f’€\/z—+—A \,—-u\ .r—/z——Â'\/——l F(h— kJ=1 r e p —, F'(h—ky—1) xa—h+hk V— dont la somme a la forme & By—i A—ByV—1 } —> mh h4 t ; x—h+ky—n et peut en conséquence se réduire à une expression telle que Pr +—0Q Il résulte de là que la fraction —7—;Q—_,, où Pet Q — hE+ R $ désignent des constantes réelles, pourra remplacer, dans ; F(=) . ; 2 , l’expression defÊ u les deux fractions simples qui cor- 2 \.T / respondent aux racines h Æ Æ g—1. Conditions pour que l'in[e'grale d'une diflë/‘(ell!i€”@ rationnelle soit a/gébrique. 228. L’une des applications les plus importantes de la théorie qui vient d’être exposée est l’intégration des différentielles rationnelles. Nous n’avons point à nous