SECTION IK. — CHAPITRE IIT. 507 cette forme (P—P)z+(Q— Q q(=) (* E pæ-+q)" (æFpr+g)}" [ ou (P — P').r G2 (Q —x Q') = {.7‘2 +pæ+ (1) Ÿ <,T) ’ \ $(æ) 9(x)etV(x) désignant, comme précédemment, des poly- nômes dont le second n'est pas divisible parx?+px+g, et l’on fera voir aussi, comme plus haut, que cette égalité exige PpP=P,-0-50- F(m) f (æ) qui contiennent en dénominateur la plus haute puissance Il suit de là que, dans les deux valeurs de » les termes d’un facteur du second degré sont égaux; en suppri- mant ces deux termes, les deux restes auront encore, pour la même raison, deux termes égaux; et, en conti- nuant ainsi, on voit que les deux valeurs de la fraction considérée ne sont formées que de fractions simples égales chacune à chacune : il en résulte en mème temps l’égalité des parties entières, s'il y en a. 997. MérHope pe pécomPosrrioN. — Pour effectuer la décomposition d’une fraction rationnelle îÎîä » on déter- minera la partie entière et les fractions qui correspon- dent aux facteurs réels du premier degré du dénomina- teur, comme on l’a vu aux n°° 217 et suivants. Quant aux fractions qui correspondent aux facteurs réels du second degré, on pourra les déterminer successivement par le procédé même qui nous a servi à démontrer le théorème I. On pourra aussi faire usage de la méthode des coefficients indéterminés. Dans le cas où les racines imaginaires de l’équation