506 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. cela ne soit pas, et que l’on ait n > n’ : de l’égalité qui a ; F{x) : lieu entre les deux valeurs de — tirons la valeur de F (— Pz-+Q H se …, cette valeur sera exprimée par une somme de quantités dont aucune n’a en dénominateur une puis- sance de x* + px + q supérieure à la (m — 1)'ême, En réduisant donc toutes ces quantités au même dénomina- teur, on aura une égalité de la forme - e(=) ou es 0 pe tn Ë(—î;, p(x) et V(x) désignant des polynômes, dont le second Y(æx) n'est pas divisible par x?+ px + q. Or l’égalité précédente est impossible; car, autrement, l’équation Px + Q= o devrait admettre les deux racines de l’équa- tion x?+ px + q = o, ce qui ne peut arriver, à moins -que P et Q ne soient nuls en même temps, contraire- ment à l’hypothèse. On ne peut donc supposer 7 > n'ni n°>>n, pour une raison semblable; par conséquent, on uIÉte R; Je dis maintenant que l’on a aussi P'= P, Q= Q. Re- prenons, en effet, l’égalité qui a lieu par hypothèse entre les deux valeurs de fia) mettons dans un même membre el \ ) Pz+Q 70 P'a 407 ; e Ï\.'ï‘2 +pæ+ }" (.7“2+/).1,——+— q)” le second membre tous les autres termes dont les dénomi- les deux termes » etdans nateurs ne contiendront aucune puissance de x?+px+g supérieure à la (n — 1)i*"° ; réduisant tous ces derniers termes au même dénominateur, on aura une égalité de