- n C4N uu sA 504 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. lesquelles donnent pour P et Q ces deux valeurs réelles et finies, N M# — NA P =— — » =— ——7._—' Les valeurs de P et Q étant ainsi déterminées, nous poserons P(a) — (P2 +QIA(=) _ pn S E OE r p nn } ( æ , æ+pze+dq E F,(x) désignant un polynôme réel, et, par suite, on aura F(.rf) = Pzr+Q F,(æ) = (x*#p x+q)"f;(æ) [:.r2—{—]).r+(j)'l 2 (æ? H+Ppe+q)""f, \:) ; ce qu’il fallait démontrer. = ; É F[x) CororLaire. — La fraction rationnelle — pourra F(æ) ! se (/éconzpose/' de la manière suivante : F(æ) 2re Pxr+0 P,x+9Q, = /\1) >s (-"72+]).r aa q/… (1.2 +pæ+ q)u—1 258 A Pn——1 æ + Qn—l Fn ( r‘\ , .r2+p.r+r] j1(1) PS désignant des constantes réelles, et F,(x) un polynôme réel aussi. 225. En combinant le théorème précédent avec le théo- rème analogue démontré au n° 215, on obtient celui-ci ; Tuéorème IT. — Si l’on décompose le polynôme f (x) en facteurs réels du premier et du deuxième degré, en sorte qu'on ait f(.wr)=(.r—a}"‘ (.r—b)‘ ;s .(x——lÿ (.r2 +}).I:+g)". = (.T2+7‘.l‘+&‘) q , ; ; F(æ on pourra décomposer la fraction rationnelle (æ) de # (æ)