‘ qs 500 COURS D’ALGËBRE SUPÉRIEURE. tiplie ensuite, de part et d’autre, par z”, on aura d'”,—! CIUF ('r1 . Ç./ "F I ”E I n I I—(x +C)z z — us R — +Z, —Æ e z = T (my) A6ress ; E ; 1 22 Il s’ensuit que, si l’on développe z”FK—) en série or- z donnée suivant les puissances croissantes de z, la somme ; = L des termes dont le degré ne surpasse pas n sera =” E ( = ) . z E Or, Ç désignant toujours un infiniment petit, on a, par la formule de Maclaurin, I E =n p c” F(E> Z (ÏÎ'Ç"F{ :—> I / É ; \ "F<-— => CUR| — —— er(5)=er(e)+ \ z donc on a - —— +...; : de” F(—£> d en ]‘(i> 1. 1I z c z” z”E<:)='ç"F+—I———E—, = e S masa nc B 4AR sN — | N de 19 d = * de e PE de” et, par suite, I dënF ) n—1 è, Ts \ —+ æ E E E de 1.2 clÇ2\ S dn Cn F (;> +-_- -— —— H.9-54N de” E (x \, — pE1UE < sxi- On peut trouver une autre expression plus simple du polynôme E(x). En effet, le coefficient de =" dans le développement de Z7 F z ) » suivant les puissances crois- \ > R santes de (, est égal au coefficient de 77 dans le dévelop- ‘ I R e pement de {'”+’F; d’ailleurs ces coefficients sont les