SECTION II. — CHAPITRE III. 49', Tréorème. — Si l'on a fe)S(>-aFlu- P [2 1 que F (x) désigne une fonction entière de x, dont le quotient par f(æ) soit E (x), et que l’on fasse, pour abreger, F(x) F{.7‘) t(s ds à Éx 2 b =— , ... \3 ( ) j{)') ‘!“\ J ( ) j(') 1 F{'I\ \ m(x)= l——l>‘x 7 E 3 p ( f\T) on aurala valeur suivantede la fraction l'atzonnellem ; X F(x f\.r) 1P 1 es 4 q" (f{)fi(_ (x —a)* !\z‘—a)“”1 1.2 (x — a)*-* Q. (&—1) (x—a) L-( b) d'(b) “( dÉ—1 (b) '—Ï_‘#v/v_ë e 'Ÿub‘)6-—1 = )[\6' a e es ‘L——“_\/ (.::—0; (x — 5) 1.:?.(.1:——@ l.2...\o—l)\æ—[}) w(l) w'(l) ° (7) o=1{[) .x—l)’“+(æ——l}*“1 1.2{x—1)7‘—2 l.2...(X—l…x——l) Forme nouvelle de l’expression d’une fonction rationnelle décomposée en fractions simples. 999. Le résultat qui précède est susceptible d’une autre forme très-simple et très-élégante que nous allons faire connaître. Désignons par F (x) une fonction ration- nelle quelconque, par X1, Xa, +++» Ÿu Îas racines de l’équation S. — Alg. sup., L