SECTION 11. — CHAPITRE IL. 495 Ces relations permettent decalculer successivement À, Ay, . ., Au-1, et les valeurs de ces coefficients seront finies et déterminées, car f* (a) est, par hypothèse, diffé- rente de zéro. On peut obtenir par ce procédé les frac- tions simples qui répondent aux diverses racines de l’équation f(x) = 0; quant à la partie entière, on la trouvera, comme nous l’avons déjà dit, en divisant F (x) par f (x). 290. Enfin, on peut effectuer la décomposition par un procédé qui n’exige que la division algébrique. En effet si l’on pose, comme nous l’avons fait plus haut, f(æ)=(<—a}fi(æ), et que l’on écrive a+h au lieu de x, la formule (1) du numéro précédent, multipliée par h°, deviendra F(a+h) h*F,(à +h) A A H A APA RP E SR f (a+h) TEI D +_jl;‘\a—1\—h}, et l’on voit que le polynôme A + A,h+ A,N? +...-— Ag1 h est le quotient que l’on obtient quand on divise l’un par l’autre les polynômes F(a +h) et fi(a+h) ordonnés par rapport aux puissances croissantes de , jusqu’à ce qu’on soit parvenu à un reste du degré œ ; on obtiendra donc, par cette division, les fractions simples qui se rap- portent à la racine a. On pourrait déterminer ainsi, indépendamment les unes des autres, les fractions qui se rapportent aux di- verses racines, mais il sera plus simple d’appliquer la = ; ; ; S Ps ; même méthode à la fraction 7 u complète lestermes f1J déjà trouvés; on obtiendra ainsi les termes qui sé rap-