SECTION II. — CHAPITRE I. 483 Je considérerai à cet effet l’équation du deuxième degré u>—1 (l) u =— x—+t—» > dont les racines sont données par les formules IÎ\/I—— Stx —# t* (2) u= ; Pour que l’équation (1) ait deux racines égales, il faut que l’on ait 1— 21x +t— O, d’où l’on tire =—=æ«+ \/l—.fl \/:, æ étant réelle et comprise entre — 1 et +1, le module de ces deux valeurs de t est égal à l’unité; donc. pour toutes les valeurs de t dont le module est inférieur à 1, celle des racines de l’équation (1) qui a le plus petit mo- dule est développable en série convergente ordonnée suivant les puissances entières et positives de t. Si nous supposons que la quantité à soit réelle et comprise entre —1 et +1, on aura, d’après la formule de Lagrange, 2E RS I1—VI— 287 #1 u —11 > t — E + =— +.…. t 2 I dæ r.3 7.2_[ n dr—1 L : 2 $ T dx* T2N ë et, si l’on différentie par rapport à x les deux membres de cette formule, il viendra I g1— 21x +t =1+X,t6 + X5,83+.1 #H K00 en posant, pour abréger, I dn ‘j.r2 325 “}n, n == 2 e 1.2...R2” dx ?