} \ | ‘ ; | : 482 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIEURE. ; la formule de Lagrange, om , , , 3m(3m —1) e u=.[+-r’”t+ 'rllll——1[-+ _,.3N7—2{3+’.° | | / e 1.2 nm(nm —1)...(nm — n + 2) / _,.nnz-—n+lyz E D 277 Le terme général u, de cette série a pour valeur nm(nm — 1). …. (nm — n + 3) lä | u— Js a7M—N+1 n 5 æ TI d 7 A ; C. et l’on en déduit “;| rl ( \ ; \ ( e e ÏC”" Ë 1 (zm — m (nm +— mT )..<.{ 72N à 1} xM-A 4 j Un n+1 (nim—n+2)...(nm—n+m) La limite de ce rapport, pourn= œ , est ? ” m m ',.mr1 (m — 1)#1 6s ( \ la; , jére *. ps et l’on vérifie de cette manière que la série est conver- gente, si le module de ? est inférieur au module de ' (me — 1) =4 _fizî.m——l ; 212. L’emploi de la formule de Lagrange est souvent avantageux pour obtenir le développement en série des fonctions explicites ; j’en présenterai ici deux exemples. Ï ,J F Supposons d’abord qu'on demande de développer en série ordonnée suivant les puissances entières de t la fonction e = 1 \ E en pe e se r re E A ds g1—2tx + 8* N ; ‘ L dans laquelle x désigne une quantité réelle donnée dont V le module est inférieur à l’unité.