480 COURS DÎALGÈBRE SUPÉRIEURE. aura une racine unique de module inférieur au module de , cette racine. et le théorème du n° 208 pourra être appliqué à 210. Si l’on pose z = u— x, l’équation ° z——lç(.r—i—z}=0 se transformera dans la suivante : u— a+ tç{u), e et, d'après les. développements qui précèdent, on peut énoncer la proposition suivante : Tréorème. — Soient 9 (u) une fonction bien déter- minée qui reste continue, et T le plus petit des modules uuu antr ,* qu'il faille attribuer à t, pour que l’équation u=— e +tzp{ll} ait deux racines égales. Tant que le module de t res- tera‘inférieur à T, celle des racines u de la méme équa- tion qui a le plus petit module sera développable en série convergente ordonnéee suivant les puissances en- tières et positives de t; la méme chose aura lieu aussi pour toute fonction continue de la méme racine u. On a (n° 208), si F(u) est une fonction continue, S t? dF'(x)[o(x)} ;£?l-ïf\l+ el ] 29 1.2 dæ t” _(]n_lF,‘î"'\r{‘? ',.“]n K3N datt ; T=s F(u)=F(2)+ ! F(2 1 —— 24 ce qui est précisément la formule de Lagrange, sous la forme que cet illustre géomètre a adoptée. Si la fonction 8 F (u) se réduit à u, il vient t (l[ç (,L) ]2 # dr—1 {‘P ;: æ) ]n t [ j PEN dn- A u=— x —-e[x) + — —— —+—.#+———— e CR fn ; si Es ' B2 dæ 15927 tl le La forme que M. Rouché a donnée à la formule de