SECTION I. — CHAPITRE [. 479 le facteur e“, 1l vient dP dn oP - 09 * ; sé —P P 3 ipP ; ë = * d’où l'on conclut OP < 0ù oP. 00 (5) Œ:—.{‘[ô\r,’ 0(—)—P———-——pä(:° En vertu de ces formules (5), les équations (2) et (3) ne peuvent avoir lieu.que si les seconds membres des formules (4) s’évanouissent; par conséquent la valeur de z qui répond à la plus petite valeur du module maxi- mum satisfait à l’équation #{z)=0; ou Z;|9’\ I‘—}—Zï\—— 9\x +Z):O. Désignons par Z cette valeur de z, et posons ç(.z‘+'C_ï 4 = r _T4 c© kr+Cg:;:/ la quantité 7 sera une racine commune aux deux équa- tions z———rqflr+Z):0, r Tp r+z):o, et, par suite, elle sera une racine double de l’équation z — 'rç’{.:r +z)=—0, Désignons alors par t une constante dont le module soit inférieur au module de 7, et attribuons à la variable z le module de la constante Ç; il est évident que le module te (x + z ) ; ) ; es maximum de - sera égal au module de —: il sera e = donc moindre que r. En conséquence, l’équation z.-——tçyr+z):o