SECTION 1I. — CHAPITRE IL. 477 De tout cela nous pouvons conclure que l’on a & dE'(r)[a(e)P Fe2 dx P t F(e+3,)=F(a)+ < P(æ)e(r)+ comme nous l’avions annoncé. 209. Si l’on fait croître le module p de la variable z depuis o jusqu’'à œ , le module maximum de la fonction Î{\""“ — z) pae z qui est infini pour p = o, ira d’abord en décroissant, et s’il ne redevient pas infini pour quelques valeurs finies de p, il finira par croître au delà de toute limite, en même temps que p, à moins que 4(x + z) ne soit une fonction linéaire de z. En effet, la fonction (x + z) restant bien déterminée et continue pour toutes les valeurs de z, sup- ; q;(.‘r —+ z) = posons que le module maximum de # ne puisse z I > le module maximum de surpasser une quantité donnée sera dès lors inférieur à 1, quelque grand que soit le module de z et il s’ensuivrait (n° 207) que l’équation e lçu‘Ç.'I‘ + Z) n’aurait qu’une seule racine, ce qui ne peut avoir lieu que dans le cas où (x + z) est une fonction linéaire. Il résulte de là que, p croissant à partir de zéro, le mo- dule maximum de la fonction e e z