SECTION II. — CHAPITRE II. 453 et il est évident que, dans le développement de cette p ; e> I dernière fonction, il n’y aura pas de terme en s. D’un autre côté, la fonction dlogb{(z) _ v'(=) dz _'«.;J(Z) est évidemment développable par la formule de Maclau- rin, suivant les puissances entières et positives de z, puisque le module 7 de z est inférieur à R ; donc il n’y a ! ; ; aucun terme en — dans le developpement du premier z membre de la formule ( Passons au second membre ; comme on a I l u| l | + | + 3 — 7 ; — ce 1 il est évident que le coefficient de —, dans ce second ; membre, est égal à m — 1 ; ce coefficient doit être nul, et l’on a en conséquence m:==ts 208. La démonstration de la formule de Lagrange est contenue dans le théorème suivant, qui fait connaître en même temps quelle est celle des racines dont la for- mule fournit le développement. Tuforème II. — Les mémes choses étant posees que dans le théorème I, si l’on désigne par z, la racine de l’équation z—tp(x+z)=0o, dont le module est inférieur à r, et par F (æ -+ z) une