nauuantr e* 472 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. (1) 3—te(a+z)=(3—7)(3—z).. (3—=m)b(z), en désignant par ÿ(=) une fonction bien déterminée, qui reste continue et qui ne s’annule pour aucune valeur de z dont le module est inférieur à 7 ; on tire de là to(x +z) log [l— ——(—_—] — logb(z) z = log(z — 7 ) +...+ log(3 — 3,) — logz, et, en différentiant, to(x+z) - dlog 1-ïï / z dlog(z) I 34e I I .. — E (2) dz dz z3— 3, z=—zm . Z Donnons maintenant à la variable z le module r: le to(x +z) , S Sc a IS module de Ÿ\———) étant alors moindre que l’unité, z par hypothèse, on a to(x +3) te(æ +z) to(x + z)T? log[[_ e( ,J=_ e L {f\l } z Z 15 z [tç(æ+z‘l* d'ailleurs la fonction 6(x +z) est developpable ainsi que chacune de ses pu1>sances en une série convergente — v œ v ordonnée suivant les puissances entières et positives de z; donc la fonction to(x +2) log [1— L_:l z peut être développée suivant les puissances entières po- sitives et négatives de z. La même chose aura lieu aussi, par un theoreme coñnu, à l’égard de la fonction to(x ) ù {1_ L} z dz 9