SECTION IT. — CHAPITRE IL. 491 . I , le module du coefficient de —, dans le développement, est inférieur au module maximum du produit zf (=)- En effet, d’après le théorème du n° 205, le coefficient de Ë dans le développement de f(=) est égal à la valeur moyenne du produit zf (z), et, d’après Je précédent théo- rème, le module de ce coefficient est inférieur au mo- dule maximum de =/ (z). 207. Ces notions préliminaires étant établies, considé- rons une équation de la forme 3=to(x+2), dans laquelle t et x désignent deux constantes quel- conques réelles ou imaginaires, et où @ représente une fonction bien déterminée qui reste continue pour toutes les valeurs de z dont le module est inférieur à une cer- taine limite R. Nous établirons d’abord, d’après M. Rou- ché, le théorème suivant : Tuéorème I. — Si la fonction 9(x + z) est bien dé- terminée et continue pour toutes les valeurs de z dont le module est inférieur à R, et si la constante est telle, que le module maximum de la fonction te(æ+=) z soit moindre que l’unité pour une valeur r du module p de z inférieur à R, l'équation z2=tge(x+2) aura une racine unique de module inférieur à r. En effet, soit m le nombre des racines Z;, Z2, » » < » Tm de cette équation, dont les modules sont inférieurs à 7;