SECTION II. — CHAPITRE II. 469 tier M tend vers l’infini. Prenons les valeurs moyennes des deux membres de cette égalité; tous les termes com- pris sous le signeE donneront des valeurs moyennes nulles, à l’exception de celui qui répond à m = k et qui aura À, pour valeur moyenne. Si donc on désigne par f (z) n la valeur moyenne de e, et qu’on représente par IR == ® z celle de J ï/ÎJ s ON aura 74 f (3) z k OL =— An + n3 mais il est évident que n==0o, car n est la limite que prend, pour n=— œ , la moyenne arithmétique epstrce t E e n des n valeurs de e; le module n est donc inférieur à la moyenne des modules des quantités e, et, par suite, in- férieur au plus grand des modules de ces quantités. D'ailleurs celui-ci s’annule pour MH œ et, en consé- quence, le module de » se réduit en même temps à zéro. On a donc s— Ay 206. Lorsqu’on attribue une valeur déterminée au module p de la variable z, et que l’on donne à l’argu- ment œ toutes les valeurs comprises entre zéro et 2 7, le module de la fonction f(z) prend diverses valeurs. La plus grande de ces valeurs a reçu de Cauchy la dénomi- nation de module maximum; le module maximum de f (=) est donc une fonction du module de la variable z. Par exemple, soit f(s)= [/(1(:“'+ Z)'” - AIRRE T E DE ” z