SECTION IL. — CHAPITRE H- 467 ce cas les u — 1 premières dérivées de la fonction f(=) s’annulent pour == =,, tandis que la dérivée suivante prend une valeur différente de zéro. 205. Soit f(z) une fonction bien déterminée de la va- riable z = p(cose + isino) = pe”*, i désignant ici l’imaginaire y—1. Si l’on attribue au module p une valeur déterminée, la fonction f(=) ne dépendra plus que de l’argument o; donnons alors à œ les n valeurs o, 2 9.Ëî, … (n—1) 2—fi, n ñ n et désignons par 20, Z4, +++5 Sn_t les valeurs de z qui répondent à ces arguments, la moyenne arithmétique des valeurs correspondantes de f(z), savoir F(29) # A (6) HHF En n tendra vers une certaine limite quand le nombre »n tendra vers l’infini ; cette limite sera dîte la valeur moyenne de f(z) correspondant au module p. Considérons, par exemple, la fonction Fia) —2> m étant un entier positif ou négatif; la valeur de —M =M -M r rs +27, n est P… gznri A'mj'.i 2_…——1:m:! pn )‘2m.'l_[ | e ps E e =— sà n n 2mxTi n e sers 1 dès que le nombre variable n sera supérieur à m, le dé-