SECTION I1. — CHAPITRE II. 463 mée, on retrouvera l’équation que noùs venons de former. Nous écrirons, pour abréger, cette équation de la manière suivante : ôVm e rttet e SE 0, àc en feignant que p1, P2» » « - » Pm soient des fonctions d’une variable Ç, qui aient respectivement pour dérivées ')[)m—-l 4 ()/)m__ A C:: (m — 1) Pys 004 27 dc — 2Pm—2» *ÔΗ*pm—l' En différentiant l’équation (2) par rapport à la variable fictive €, se rappelant que A, est une constante dont la dérivée est nulle, il vient ')‘7 \ T ( \ —3 —:)Ê":/;…_ll (m — 1)Àmîiî —+—(m—2) A2p'/îll + ... —2 An—2Pm +Am,_1] OA2 m—2 OA3 m—s OA m—1 2 OA —s 0Am 7ra t SPI E PE ‘ ()Ç / m Ôç ] m ()C. p… ÔÇ pm + ()ç ION ; ; ; b ; Or =-" est identiquement nul; on a donc, en égalant à O zéro les coefficients des puissances de pm, ce ()A\… Pm—-—l—"m—l =F -;)Î =—0, oA SDS CTN IR ML ]/11 1-*,m—2 ()C , ; ")A/n—‘l SPn ms F ‘—(_),_ — O, .................... …. ; OA, ('" ue 5>/’m——1 A3 =T äâ —0, \ dA. ('n e 9‘Â])/11—1A2 S îä =—0, dA, {(m — 1)Pm-4 À4 + 7 —0.