462 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIEURE. Désignons par V,_ le dernier terme de l’équation aux carrés des différences des racines de l’équation k3 \/‘ P P 4 P2 anA4 E Pm—2 € + Pm—r — Os Lorsque pn est nut, la fonction V se réduit à A ; d’uh autre côté, l’équation (r) se déduit alors de l'équation (3) en multipliant celle-ci par x, c’est-à-dire en y introdui- sant une racine nulle. I s’ensuit évidemment que l'on a 2S : Am PE V mt … Cela posé, 1l est évident que la fonction V,, ne changera pas, si l’on augmente Chaqu€ racine de l’équation U) d’une même quantité h; or, par ce changement, les coef- masuanti 8443 ficients p+, P2, - < -, Pm prennent des accroissements A/)1' ÀP2* SE3 À/)//171* A/)IH hat qui s'évanouissent avec h, et dont les termes qui con- tiennent % à la première puissance sont respectivement / v f bs 1 mh, (m—1)p,h, (m — 2 )pat, ... 2Pm—ah, Pm—ih. | L'accroissement correspondant AV, de V,,, savoir : ps ; x É OVn (2\ pl AVm —— âpn t ()/’l f ô;”'. ‘ m 0 Ap5 12e <4 OPm m SD 5603 » est nut, quel que soit , et, par conséquent, le coefficient de la première puissance de % est identiquement nul ; on a donc OV m OV n OVn OVn m + m—l\}),—) + (m — 3) +.. e + Prosn / OP1 , O P2 A Op3 On peut obtenir, d’une autre manière, cette équation qui va nous conduire à la valeur de V,,. Si, en effet, on fait disparaître le second terme de l’équation (1) et qu’on } ÊF exprime, par le moyen des différentielles partielles, que V m estune fonction des coefficients de l’équation transfor- ‘)])HL