=— à KC SRS matann sw 225 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 444 la formule (9) deviendra alors \ R a en 1= +(g n e (7) e uss ue {«b } a n—m /{[ /I——ll!' I+ 5/ TH - —) ; b \u, Supposons que le module de la racine a soit inférieur m au module de chacune des autres racines, et faisons tendre z vers l’infini, m restänt constant ; les rapports b b \ En_m S'évanouissent aussi pourn=—æ , on aura _(I) 2 a"l — î_4l » a n a n—m ; 5 , —> »»«- tendrontvers zéro, et si les quantités e,, c’est-à-dire d(u”)- (#æ”), e d-—-{{[u m m (Nu'”)f… f- I du [f(æ)] =" —— f(u ——" fé) du ë 2 du IO ‘ d (u”) k \ / Es ank d P {f\u/s] æ I du Z ; \ 1X du se enfin, si l’on désigne par F (u) une fonction de u, telle que , 12 s; Flueaut 4 wT A on déduira immédiatement de l’équation (10) la formule due à Lagrange, savoir : 1 dF'(u)[ f(u)] 12004 \ F(a)=F{u) +F'(u) f (u) + 1.2 du (q1) | sp = ; I dé=Etut [ T ; — " Hono. TO OEN du'—1 ; Si l'on prend F(u)=u, la formule (r1) donnera le développement en série de celle des racines qui a le plus petit module.