SECTION 1£. — CHAPITRE I. 443 de le voir en remplaçant dans celle-ci Ÿ (w) ou I (u) par le produit IT(u) F(uw); donc on a (8) [vn] = (] [T], et si l’on pose ® (n* 1(u) W(u) = ®(u), 11(:;):qu{), on déduira dé la formule précédente [®] v (9) v wf Posons r N 5x 5644 ‘V(u)=u—'z, ®(”)=în—.ïz’ d’où W(u)=u'”, n et n—m étant des entiers positifs, on aura, par la formule (5), r I I ; 1 e 2Ps FN an+])n.+"' l/L_—Ll]\I+E")’ et de même I I I ; — q « Fs es ja—m ———[‘hJ »Î+Ë,L_…,ïq (LIZ—HL l— bll——l)L ä ; ; se v trouvera, en faisant usage de la formule (6), que le coefficient de d'm-—1+! À se compose des deux parties suivantes : m(m—w)... (m—k+1 e ( JeceX ) —s (ekdu); T4 m(m—1)...(m—/r+2) cs 2...(k—1) lllzc(ik—’(z*—‘ de) 4——* d e dut) dé=>(eb=> dj _ di=i ( ps du).t]- Dans la seconde partie, le facteur entre crochets a pour valeur dk-" (tkdu), car ce facteur n’est autre chose que le second membre de la formule (a) quand on remplace z par &— 1, 4 par £ et v par tk=t du, La somme des deux parties dont nous venons de parler est donc Cms r (’”ÎÏ‘)Ï'1À”‘ —F+3) p ( du), r. 2" ; d’où l’on conclut que la formule (a) subsiste pour # —m-+1.