SECTION 11. — CHAPITRE IT. 437 en sorte que ce coefficient pourra être représenté par q (#) Zt"'+l 2 pourvu qu’on ne retienne que les termes qui contien- nent w en dénominateur. Considérons maintenant un terme quelconque du se- cond membre de l’équation (2), celui qui contient la puissance à de f(x) et qui a pour valeur ( aylNLA(IE, (u — .1‘)’+1 D’après ce qui a été dit plus haut, le coefficient de x” dans le développement de p(=) LAtæi] u — x est égal à R p(u)[F(u)] u n+1 ? pourvu qu’on ne retienne que les termes qui contien- nentu en dénominateur. Ona donc, aveccetterestriction, pAGIPAGAIS =E el#)[/(«)} -% uA n le signe \ s’étendant à toutes les valeurs entières nulle 2> ou positives de n. Et, comme la différentiation relative à u ne peut introduire de puissances négatives de u dans les termes qui n’en contiennent pas, on aura, en pre- nant les dérivées d’ordre i des deux membres de l’éga- lité précédente, el a)} l.ç{.lfi)[f(m)]"_î UE ;( 1.2...1(—1 ; — S \ ) (u—.r)""‘ 4 du* 7 æ »