SECTION T. — CHAPITRE T. 431 et si l'on pose ; P+Q I P— Q s,— [ <.r0 +m+ —-——S) sX1= <.l‘o — w, ———————9> ; s0 2 puis P v;=oh— —95 £o il viendra V—n (Xi=H ) — Va ou v= '2 + Va; X, et X, sont des fonctions linéaires qui peuvent ren- fermer les n variables Xo, X1> + < +, Xn_1, CL V, est une fonction entière et homogène du second degré qui ne renferme, au plus, que n— 2 variables. Ainsi la fonction V, qui dépend de n variables, est ramenée à la fonction V,, qui n’en renferme que n — 1 au plus, ou à la fonction V,, qui n’en contient pas plus de n— », en mettant à part un carré dans le premier cas et deux dans le second ; on peut opérer de la même manière sur la nouvelle fonction, et en poursuivant ainsi, on mettra V sous la forme suivante : V=eX}+e X +...+ 64 XF 15 ou V—(X, \/äî}2 + <'Xl V'EÎ P 2, Eny E4y » » »» E désignant des coefficients numériques, et Xo, X1, » » -, X,, des fonctions linéaires des variables X5 X45 ** < 5 Xnnt- Il est évident que le nombre v est égal ou inférieur à n, et quel'omav=n quand les coefficients numériques de V sont des quantités indéterminées. Exemere. — Si l’on applique la méthode précédente