SECTION IY. — CHAPITRE I. 497 viendra identique, quel que soit ñ, quand on attribuera à x et à y leurs valeurs simultanées; en conséquence, les coefficients des diverses puissances de h doivent être nuls, En égalant à zéro la partie indépendante de h, on retrouve l’équàtion (5), et si l’on égale à zéro les- coeffi- cients de la première puissance de }, 1l viendra [,n“).m——l +‘;Hl rent I)q‘ÿ,.m—2+ r (1m—1]"ÏÏP = D“p.{-ym E q1y…—l +u q ‘I…) =—0, et, par suite, Da (3,m+ q1ym—l v Gt Y + ‘/m) w æ — my"+(m —1) q" + 11 Gms On aura, en particulier, Dal (.Tm 1= —']1.7"'_1 + e cl Q'm—1.Ï Fa 7 (]…) —— paqus = =4 my"}+ (n — 1) G3" * HE Gmc On voit donc qu'’il suffira de résoudre l’équation (5) pour avoir résolu par cela même l’équation (1). Cela posé, on peut disposer des indéterminées do, ay, .., d'e manière à faire évanouir n termes de l’équa- tion en y ; par exemple, si l’on veut faire disparaître les n \ermes qui suivent le premier, il suffira de poser s=— S=0e — L% Or, en se reportant aux équations (4), on voit que S, est du premier degré par rapport à ao, @, ..., que S est du deuxième degré, S, du troisième, ete., S, du n'ème, Donc, d’après le théorème de Bezout (n° 70), fa détermination de ces indéterminées, dont l'une peut être , prise arbitrairement, dépend d’une équation du degré 15075208 et, si l’on voulait faire disparaître de l’équation (5) tous