SECTION IL. — CHAPTTRE T. 423 de p,,_, les équations v e P 10 ml peuvent avoir lieu, quoique les équations (r) et (2) n’aient qu’une seule racine commune. En effet, /(a), f(b), ..., f ({) sont des fonctions linéaires de p,, ; et leurs dérivées par rapport à p,,_; Ont respectivement pour valeurs a’, bi, ..., l'; donc, à cause de v=/(a)f(6). #14), on aura V=af(b)... f(1)+ d f(a).f (1)+.…. Pm—i Il est évident, d’après cela, que les équations de con- dition v —0 v—se Pm—i seront vérifiées si chacune des équations proposées a une racine nulle. Exempzre. — Appliquons le théorème de Lagrange aux deux équations x3 + p, x* + px + p5, = 0, x2+ q + q = 0. En appelant a et b les racines de la seconde équation, on a V=(a+ p,a + p,4 + p;)(53+ p, b* + p, b + p3) ‘ q tn [ 2 \ T2 =91— MP P1H 0012 — 295 Pe— (GN — 391 Pa) Ps H 9 PA 2 2 — 4G MP2+(91 — 292)P1Ps+ RP3 — ToPaP3+ P3s et D, V=— 41 + 391 G2 + (G1— 29$)Pr — U P2 + 2P5- 3 La conditron, pour que les équations proposées aient une racine commune, est V— 0; par suite les condi-